jeudi 11 octobre 2007

Casanova était une femme

*de Régine Deforges et Sonia Rykiel

Résumé du livre

'. .. Silence on tourne. On tourne quoi ? L'histoire d'un intrigant, un libertin, un présomptueux, un fou de sexe, de prouesses, un pantin érotique. Mais personne ne le sait. La vérité c'est que Casanova était une femme. C'était Giulietta ou Monica ou Claudia qui se donnait à corps perdu, qui se jetait dans les bras des hommes pour, après, aller se cacher derrière les arbres à l'entrée de Rome. Les fameux arbres où, au début de l'hiver, il y a des fagots qui brûlent. Là-bas, ces femmes, ils les appellent les lucciole. Je t'aime. Bon voyage. Prends soin de toi ...' Deux femmes que tout expose à la lumière des médias échangent une correspondance intime et secrète pendant près de trois années. Pourquoi, à l'heure des contacts rapides, ont-elles choisi de s'écrire plus de cent lettres ? La réponse est dans leurs échanges. Et derrière leur crinière flamboyante et leur réussite exemplaire se profile une part de nous-mêmes. La dessinatrice Claire Bretécher apporte son sourire à cette rencontre exceptionnelle.


Morceaux choisis ( pas les meilleurs a mon goût)


Je me suis réveillée tout à l'heure en larmes parce quej'avais la certitude que Dieu n'existait pas. Et son inexistence me faisait pleurer et me faisait lui adresser des prières. Le comble de la connerie,j'en conviens.

------------------------------------------------------
Tu vas encore profiter du soleil ! Si tu dis qu'il ne te réchauffe pas, c'est parce que tu ne le veux pas. Le soleil est chaud, fort, puissant. Fixe-le, tu verras mille éclats de lumière qui enrubanneront ton coeur.

------------------------------------------------------
C'est le jour de la Saint-Jean.J'aimais lever haut mes jupes pour provoquer le désir des hommes en sautant le feu... Me reviennent les souvenirs de mes promenades à travers bois et champs dans ma campagne poitevine oùj'errais durant ces courtes nuits de juin, affolée d'odeurs, espérant l'étreinte d'un faune ou à défaut d'un paysan... Comme moi, tu as remarqué que le désir des filles fait le plus souvent peur aux garçons ?

La critique [evene]
par Thomas Flamerion

Le titre est alléchant, mais le livre aurait sans doute mérité patronyme moins pompeux. On s’attend à des aventures au féminin dignes de celles du plus grand séducteur de l’histoire. Il n’en est cependant point question dans cet épistolaire dialogue entre la célèbre couturière Sonia Rykiel et l’écrivain Régine Deforges - illustré par le coup de crayon légendaire et sympathique de Claire Bretécher. En plus d’une chevelure aussi flamboyante qu’imposante, ces dames partagent une amitié de longue date, et c’est bien là le ressort principal de leur correspondance. Deux femmes que l’âge rattrape et inquiète, deux artistes face à leurs doutes et à leurs angoisses, deux êtres humains, surtout, que le monde déroute, agace. Pourtant, ni grandes révélations autobiographiques, ni réflexions profondes sur l’humanité dans ce court ouvrage. Juste les états d’âmes de deux symboles de la culture française, qui valent au moins par leur notoriété. Le style est plutôt léger et personnel, à peine piquant. "Lâchez-vous", leur avait conseillé l’illustratrice, il ne fait aucun doute qu’elle auraient pu faire mieux. La plume de Régine est lyrique, appliquée tandis que celle de Sonia s’emballe, dérape, laissant parfois un peu perplexe. ‘Casanova était une femme’ recèle de jolies réflexions qui viennent ponctuellement compenser l’intérêt mitigé qu’il provoque. C’est un petit livre sans prétention, que l’on ouvre avec plaisir, mais que l’on quitte sans regret.

LES AUTEURS :

Régine Deforges
Ecrivain français
Née à Montmorillon le 15 Août 1935
Après quelques années passées en pensionnat de jeunes soeurs, on remarque les multiples talents de Régine Déforges : d'abord libraire, puis éditeur, bientôt spécialisée dans la littérature érotique ce qui lui vaudra quelques déconvenues dans une France qui n'a pas encore vécu la libération sexuelle. En 1983, elle connaît son plus grand succès après la publication de 'La Bicyclette bleue'.

Sonia Rykiel
Couturière française
Inventeuse de la "démode", la mystérieuse Sonia Rykiel ouvre sa première boutique en mai 1968, dans la rue de Grenelle à Paris. Ses pull-overs ultramoulants, qui deviendront d'ailleurs sa marque de fabrique, lui valent d'être consacrée "reine du tricot dans le monde" par le magazine américain Woman's Wear Daily, la même année. Prônant l'adaptation de la mode à soi et non l'inverse.

MON OPINION:

La critique ci dessus est partiellement vrai, certe le titre est pompeux et n'a rien à voir avec le livre.Certes on s'attend à autre chose, mais il contient tout de même de la sensibilité il m'est arrivé de versé une larmichette par moment, par exemple quand régine parle des ses parents.
Ce livre est l'histoire de deux femmes qui on peur des années qui passent de la vieillesse qui s'installe... Elle ne font que dire se que l'on pense tout bas où que l'on essaye d'expliquer mais qui passe moins bien sous nos plumes peu expertes.
Je l'ai trouvé vraiment attachant à l'image de ses deux femmes.

mardi 9 octobre 2007

Mon évidence

Bientôt un an, tout bientôt même..
On est passé par pas mal de choses, difficulté a oublier ton ex, difficulté à ce projeter, difficulté à oublier les echecs passés...
Et moi dans tout cela qui est toujours su que tu étais mon évidence...
Il ya un an tu ne donnais pas cher de notre peau et maintenant on va vivre ensemble...

lundi 17 septembre 2007

j'ai

Paroles J'ai Rose

Artiste: Rose
Chanson: J'ai

J'ai dans le coeur autant de noeuds
Que d'étoiles qui filent pour faire des voeux
Des fleurs qui fanent et qui renaissent
Des pluies de rêve, des nuits d’ivresse.

J'ai dans les yeux autant de bleus
Que tout ce noir qu’on voit si peu
Des coups de blues un peu jazzy
Des mots qui sonnent en poésie.

Refrain :
J’ai dans le cœur plus de rancœur
Qu’il n’en faut pour haïr
Jusqu’à sa dernière heure.
J’ai pour mon âme
Autant de sœurs
Que j’ai de larmes de joie
Et de bonheur.

J’ai dans les mains autant de lignes
Que de destins qui me font signe.
Une vie qui file entre mes doigts
Que je ne rattraperai pas.

J’ai sous ma peau autant de tares
Que de délices dans ma mémoire.
Des bouts de moi dont je suis fière
Et d’autres qui restent un mystère.

Refrain.

J’ai sur le cœur autant d’offenses
Que de fautes sur la conscience
Des cris qui meurent entre mes dents
D’autres qui pleurent lancinement.

J’ai dans le souffle autant d’espoirs
Que de défauts dans mon miroir
Des ombres noircissent mes tableaux
Des idées noires hissent leur drapeau.

Refrain.

jeudi 13 septembre 2007

Pat bol une découverte

Pat' Bol fait partie de ces éternels adolescents qui prennent la vie pour une immense cour de récréation. Ses chansons sont autant de prétextes pour nous raconter ses déboires de cœur d’artichaut. Des rythmes chaloupés et des airs à la gomme qui prêtent à sourire, toujours frais, parfois naïfs, mais en aucun cas déprimants ! Son premier album, « Et peluches si affinités… », se découvre comme une pochette surprise. 13 titres enregistrés à la maison avec les amis. Presque un album de famille où on peut sentir les influences de Mathieu Boogaerts, Albin de la Simone et autres Boby Lapointe. Le plaisir des mots et l’art des petites mélodies entêtantes.

Il faut aller voir ça!! j'adore!! surtout coco et boubou ce sont mes idoles ;)
Biensur les chansons sont terribles aussi.

http://www.patbol.net/

Allez, on clique, vous allez voir c'est tout doux.

Toulouse, la dune du Pyla, Bordeaux et l'ardéche, suite....

Toulouse :

Nous n'y somme resté qu'une soirée, la ville avez l'air sympa. En revenant nous avons voulu nous y arrêter pour la visiter de jour mais malheureusement plus de place dans le hôtels, entre les congrès et la coupe du monde de rugby.

La dune du pyla :

Je voulais gravir la fameuse dune du pyla voilà qui est fait, ouf la vue est magnifique mais je suis heureuse d'avoir arrêté la cigarette car elle est raide la demoiselle... Aldo a très bien tenu le choc pour un bouledogue français, même pas peur l'animal ;)

Bordeaux :

C'était quand même la destination de ses vacances, nous y sommes restés deux jours. J'avais bien préparé les visites grâce au guide du routard qui soit dis en passant et la bible des voyageurs...

Petit topo sur la ville :
*230 000 habitants, 6éme ville de France
*Capitale mondiale du vin
*trois siècles de domination anglaise
*Classée patrimoine mondial à l'UNESCO
*Spécialité : le cannelé

Mes impressions :

J'avais réservé une chambre d'hôte à 12 km de bordeaux, déception en arrivant ou plutôt en arrivant devant l'hôte, car le cadre était splendide, aucun accueil un bonjour, un voici votre chambre et rien d'autre jusqu'au au revoir cela vous fait 180 euros.

Bordeaux est une superbe ville, bourgeoise certes mais les autochtones sont forts sympathiques, ils sont vraiment respectueux de leurs villes, au court de nos balades je n'est pas vu une crotte de chien où un mégot par terre...c'est pas comme à la maison...

Le premier soir nous avons fais un restaurant fort sympathique (chez Jean) en terrasse sur une petite place (la place du parlement) le restaurant été recommandé par le guide du routard car apparemment c'est un place piège à touristes
Aucune déception sur ce restaurant si j'avais pu embrasser le cuisto je l'aurais volontiers fait.
Autre restaurant que nous avons fort apprécier (viandocks) quai de la Paludate, hormis le quartier qui n'a pas l'air trop catholique. L'accueil dans le restau fut agréable la viande une pure merveille, du beurre...le propriétaire des lieux a pris le temps de nous parler de son restau qui est en fait une ancienne boucherie et dont il reste un étal au milieu de la salle de restau ou l'on va choisir sa pièce de viande.A la fin du repas on nous a apporté une bouteille de rhum pour réchauffer notre café a t il dit le Monsieur ;)

Mon chéri a pu mettre en œuvre ses compétences photographe (c'est lui qui as pris toutes les photos, il est doué mon cœur n'est ce pas??) car la ville joue beaucoup de lumière la nuit.

En résumé on se sens bien dans cette ville.

L'Ardèche :

Ah comme c'est reposant.. Nous avons eu un accueil fantastique dans la table et gîte que nous avions réservé (la jeanne à Les vans) Un couple fort sympathique, Madame fait divinement bien la cuisine et Monsieur reçoit super bien.

le cadre : des chalets dans un petit écrin de verdure

JE VEUX PAS RETOURNER AU TRAVAIL!!!!!